Disneyland Paris lançait les festivités pour ses 30 ans. Autant vous le divulgâcher directement, si vous cherchez ici une parfaite excuse pour investir dans un séjour à Disneyland Paris en urgence, passez votre chemin. Bien qu’elle ne soit pas dénuée de très bons points, cette célébration d’anniversaire n’en reste pas moins l’une des moins ambitieuses de la maintenant longue histoire de la destination.
On ne reviendra pas sur l’ouverture de la destination en 1992, ni de la petite célébration du premier anniversaire qui a vu le château entièrement transformé en gâteau géant pendant quelques jours.
1997, les 5 ans, aussi connus comme l’Année de Toutes les Fêtes. Château entièrement habillé, cloches géantes sur Central Plaza, bannières et fanions bigarrés de partout. Ce premier anniversaire majeur n’avait pas été célébré à moitié. On se souviendra encore longtemps du Carnaval des Fous et ses centaines de performers, ou du spectacle Disney – The Music and the Magic de Vidéopolis.
2002, les 10 ans, circulez, il n’y a rien à voir. En effet cette année là, tous les regards sont concentrés sur le quart de deuxième parc alors surnommé “Le Park-ing”.
2007, les 15 ans, une célébration gravée à jamais dans les mémoires de ceux qui ont pu y assister. Si je vous dis Just Like We Dreamed It et Bougillumination, vous devriez déjà avoir comme moi des papillons dans le cœur. Sinon, YouTube est votre ami.
2012, les 20 ans, une célébration nettement plus modeste, mais on ne peut pas oublier l’iconique Magic Everywhere et le spectacle qui aura marqué toute une génération : Disney Dreams.
2017, enfin, les 25 ans. Parc presque intégralement rénové, nouvelle Parade, nouveaux spectacles et attractions en pagaille. C’est LA célébration de référence dont la simple évocation vous donne sans doute la “chair de poulet”.
Au bout du compte, force est de constater que les chiffres ronds n’ont jamais vraiment rimés avec grandiose pour Disneyland Paris. Les années en 5 sont plus inspirées et ce ne sont pas les 30 ans qui vont déroger à la règle.
Pourquoi ce parallèle ? Parce que niveau décorations, Disneyland Paris semble avoir suivi les mêmes règles.
Quelque chose de bleu. L’influence de l’esthétique des 25 ans se retrouve partout tant dans leur forme que leur exécution on retrouve les mêmes éléments. Telle la décoration de Main Street Station, du Gazebo ou des médaillons/fribees immobiles sur les lampadaires. Même le logo 30 en forme de tête de Mickey argentée fait penser à la traînée de Poussière de Fées argentée aussi du logo 25.
Il y a pourtant de belles idées, comme l’utilisation ingénieuse d’éclairages LED camouflés dans les fausses draperies du Gazebo et l’ensemble de la façade de la Gare. Mais ça laisse un goût d’inachevé tant, c’est inégal avec le vide sur le reste de Main Street, d’autant quand la façade de la gare ne révèle sa beauté que le soir venu, donc dans le dos des visiteurs quittant le Parc.
Quelque chose d’emprunté. Le mot du jour est Ear-idescent et on le retrouve déjà depuis le 1er octobre 2021 au cœur des 50 ans de Walt Disney World. Que dire de plus, mis à part que ça sent quand même un peu le manque d’originalité, pour ne pas dire de la fainéantise de la part des équipes créatives, surtout pour un résultat nettement moins convainquant qu’en Floride comme le côté doré a cédé sa place à de moins chaleureux reflets métalliques.
Disneyland Paris aurait sans doute gagné à s’inventer sa propre terminologie pour décrire son concept global à base de dégradés de couleurs cyan-mauve-magenta auxquels ont d’ailleurs déjà été habitués, depuis fin 2020, les fidèles lecteurs de ED92.
Quelque chose d’ancien. On parlera donc des fameux Jardins Féeriques, qui ont clairement pris la plus grosse part du budget. En effet, on peut affirmer sans crainte que la Spring Fever (2015) s’est emparée de ces 30 ans pour en faire un vrai Festival des Fleurs (1997). Mais un tel parti-pris au début du mois de mars ne peut évidemment pas donner un résultat enchanteur. Il nous faudra attendre l’arrivée des beaux jours pour juger, et ce ne sont pas les cages apparentes pour plantes grimpantes encore trop jeunes ou les discrètes fougères luminescentes cantonnées au seul bloc Galaxie qui diront le contraire.
Pour ce qui est des mobiles… C’est une affaire de goûts. Personnellement je n’ai pas été convaincu tant les résultats finaux sont disparates et manque tout de même de légèreté. On devine la très bonne idée sur le papier qui a eut beaucoup de mal à se concrétiser, d’autant qu’il ne s’agit au final que de simples sculptures plus ou moins abstraites qui tournent de façon motorisées sur un seul axe. Elles auraient grandement gagné à être de véritables moulins à vents en différentes parties pour atteindre l’apport en énergie cinétique espéré.
Au bout du compte, difficile de juger objectivement cet aspect de la célébration, d’autant quand on a physiquement connu les 30 dernières années de célébrations et saisons diverses. Si j’avais un regard neuf, je dirai qu’on serait sans doute sur un Bien, car il y a de l’idée et une recherche d’originalité avec une plutôt bonne utilisation des technologies LED.
Mais ce n’est pas mon cas et je me dois de juger l’ensemble, ce qui implique de compter aussi sur le minimalisme absolu des décorations pour le reste de la destination à base de quelques rares bannières ou stickers particulièrement discrets.
On regrettera que quelques idées simples auraient permis de donner nettement plus de relief comme reprendre le concept des draperies LED de la Gare et du Gazebo sous forme de guirlandes tout au long de Main Street, éclairer les façades de la rue dans les mêmes jeux de couleurs et de plus simples draperies irisées sur les lampadaires et balcons pour sublimer l’esprit festif tout au long des séquences d’entrée/sortie du Parc.
Vous connaissez déjà Disneyland Paris et voulez consacrer votre visite exclusivement aux éléments de cette célébration ? C’est votre chance, vous n’aurez pas besoin de prévoir de longues marches car cette fois, le choix a été fait de rassembler les offres et de principalement les concentrer sur Main Street et Central Plaza. Une décision avec son lot d’avantages et d’inconvénients.
Côté Animation tout d’abord, on devra se contenter de 2 propositions.
Tout d’abord une belle animation en journée, Rêvons… et le monde s’illumine ! sur Central Plaza avec 4 représentations quotidiennes qui s’enchaînent. Vous pourrez donc assez facilement y assister, le spectacle étant enfin véritablement conçu pour pouvoir être apprécié de partout. Même si nombre de zones sont réservées pour le passages des danseurs et personnages, chaque emplacement vous permettra de pleinement en profiter.
Concernant ensuite l’animation nocturne bicéphale D-Light / AfterGlow, avant et après le maintenant classique Disney Illuminations, en dehors des désagréables temps morts pour passer d’une séquence à la suivante, vous n’aurez pas de difficulté à en profiter pour peu que vous soyez déjà rodés au concept des féeries nocturnes sur le Château.
Côté Merchandise, c’est facile, il n’y a, et n’aura jusqu’à nouvel ordre, qu’une seule adresse, celle de New Century Notions Flora’s Unique Boutique, ou plus simplement Flora pour les intimes.
L’énorme avantage est que cela permet une très bonne gestion des stocks. Pas besoin de craindre des ruptures au bout de quelques jours, les collections devraient pouvoir tenir dans la durée et tout au long des journées, même si il semble que celles-ci tourneront de mois en mois, au rythme de leur arrivée de Chine. L’autre atout est que cela permet aux équipes de mieux contrôler les abus, chaque article étant limité à 5 exemplaires par transaction. Évidemment, il existe des failles, mais globalement il y en aura pour tout le monde.
A l’inverse, l’inconvénient est la création de 2 files d’attente devant la boutique, une classique et une pour les Accès Prioritaires. Des files qui peuvent atteindre des niveaux records (mais quand même pas au niveau des 6 heures du point rencontre avec Anna et Elsa de Noël 2014). Ainsi le jour du lancement, la file classique pointait à 2H30 tout au long de la journée. La patience est donc la clé, mais profitez que l’attention est tournée vers le spectacle de Central Plaza, la Parade ou Illuminations pour un accès plus rapide.
Côté Restauration, là vous allez avoir l’occasion de marcher un peu plus, de nombreux points à travers le parc proposent au moins une offre plus ou moins spécifique aux 30 ans. Mais Main Street et Central Plaza restent quand même les zones à privilégier pour la majorité d’entre elles.
Difficile de tout goûter en un jour, nous y reviendrons très prochainement en détails, mais il est tout de même bon de savoir que nombre d’entre elles n’étaient pas encore disponibles au 6 Mars et qu’elles arriveront progressivement jusqu’au 12 Avril avec la très attendue réouverture du Walt’s – An American Restaurant.
Au final, on se retrouve donc avec une proposition globale assez limitée et très inégale avec son lot d’avantages et d’inconvénients, mais dont la quantité restreinte aura le mérite de vous permettre d’en profiter dans son intégralité en une seule journée.
Même si on sent le passage évident du Covid19, on aurait apprécié avoir des petits plus de dernière minute comme celui-ci semble enfin prêt à nous laisser respirer un peu histoire de ne pas nous laisser sur un arrière-goût de trop peu dans le cadre d’un séjour.
Évidemment l’arrivée d’Avengers Campus à un moment donné durant l’été sera un ajout non négligeable. Mais en l’état on aurait apprécié voir par exemple Castle Stage habillé pour devenir un SelfieSpot/MagicShot dans un joli paysage aux couleurs de la fête avec un gros logo 30 et ce même sans personnage, le Château (sans décoration, mais au moins rénové) se suffisant à lui-même.
Comme vous l’avez sans doute déjà compris, on est sur une proposition limitée. Pas de points Rencontres thématiques avec votre Personnage préféré en tenue Ear-idescente ou de décor exclusif, ni de modification sur la Disney Stars on Parade. Pourtant on aurait apprécié y voir ajouté des médaillons 30, entendre Crush souhaiter à nouveau son “Joyeux Anniversaire Disneyland Paris” ou avoir un show-stop sur le thème musical de la célébration.
Fort heureusement, le spectacle en journée est lui d’un très très haut niveau, le catapultant au panthéon des meilleures productions de l’histoire du Parc. Fier de tout le savoir-faire acquis depuis Swing into Spring, et inspiré des Street Parties qui ont fait les beaux jours des Parcs américains et japonais, les équipes de Disneyland Paris nous livrent ici une bouffée de fraîcheur avec un spectacle simple et efficace loin des délires pseudo-artistiques des années précédentes.
On adhérera ou pas au style minimaliste des chars, relégués au rôle assumé de plateformes colorées mobiles, mais on ne peut nier l’énergie colossale déployée par les personnages et danseurs qui mettent littéralement le feu à Central Plaza sur une bande-son qui s’éloigne enfin du côté Magique pour privilégier le côté Festif. Vous ne pourrez pas vous empêcher de chanter et de gigoter sur place à un moment ou un autre de ce medley musical pulsé, véritable pot-pourri de l’histoire des productions de Disneyland Paris dans ces hommages plus ou moins subtils. Allez, je vous en donne un, prêtez l’oreille et vous vous retrouverez à chantonner “Just Like we Dreamed It”, célèbre thème des 15 ans, sans comprendre clairement pourquoi.
Au niveau de la mise en scène, le ton reste le même, pas le moindre temps mort, ça bouge partout, tout le temps, du début à la fin, que ce soit sur les chars, au sol ou sur les scènes. Où que vous soyez placé, vous en aurez forcément plein les yeux et j’en éprouve un profond respect admiratif pour les équipes qui doivent être vraiment lessivées à la fin de leur journée.
Vous l’aurez compris c’est LA bonne surprise de cette célébration et l’événement à ne pas manquer. Après 8 représentations en 3 jours, j’en demande encore.
Par contre, le constat n’est malheureusement pas aussi tranché pour l’autre production de cette célébration. Si on s’en réfère strictement au programme, D-Light a lieu avant Illuminations et c’est bien là son plus grand défaut. On a là l’introduction d’un tout nouveau spectacle, avec une belle audio et un mapping parfaitement maîtrisé. Mais c’est tout.
En effet, l’arrivée des 200 drones en toute fin, proposant un logo 30 fixe géant, s’avère être le final d’une séquence de même pas 5 minutes qui nous laisse dans l’incompréhension la plus totale quand le château retrouve son aspect neutre et que l’audio classique revient en nous annonçant le début d’Illuminations 5 minutes plus tard. Un spectacle qui en comparaison s’en retrouve bien fade et même un brin vieillot 5 ans plus tard en nous présentant des films “récents” depuis longtemps arrivés sur Disney+ ou ayant depuis connus des suites.
Mais ne partez pas trop vite alors que le Parc semble annoncer sa fermeture, car la véritable petite surprise va arriver encore 5 minutes plus tard avec After Glow. Le faux-jumeau surprise (car non annoncé dans le programme ou la communication) de D-Light est la séquence de clôture de la nouvelle féerie nocturne que nous n’avons pas eut. Cette fois les drones vont enfin déployer tout leur intérêt, passant de ciel étoilé à un logo 30 vivant et animé pendant que mapping, fontaines et jeux de lumière sur l’ensemble de Central Plaza, dont les LED dans les arbres et les éclairages des Jardins Féeriques, illuminent la nuit pour terminer la Fête en beauté dans un tourbillon de lumières nettement plus convenable.
Mais quel dommage de devoir au bout du compte devoir supporter papy Illuminations pour en profiter, surtout dans le froid encore glacial des nuits du mois de mars pour avoir la véritable proposition.
Passons maintenant aux Produits Dérivés. On ne reviendra pas sur le choix de tout concentrer en une seule boutique, en dehors évidemment des offres Arribas et Pandora.
L’esthétique est affaire de goûts, mais force est de constater que les équipes ont essayé de proposer une offre aux designs variés qui pourront plaire au plus grand nombre, même si pas forcément à toutes les bourses, une grosse augmentation tarifaire s’étant glissée parmi les invités de l’événement.
L’arrivée de produits excessivement attendus comme le nouveau distributeur de savon Mickey ou le trio classique Spirit Jersey – Ears – Sac Loungefly sont évidemment parmi les best-sellers de la saison.
J’ai dit Sac Loungefly ? Excusez-moi… A l’instar de nombre d’éléments, ceux-ci sont encore absents à l’heure où j’écris ces lignes. De nombreux soucis d’approvisionnement ayant imposés un illusoire rythme évolutif au grès des semaines, même si beaucoup d’articles sont promis pour le 12 avril au plus tard. Peut-être auront-ils faits leur apparition au moment où vous lirez ces lignes, Walt seul le sait. Et encore…
Côté Restauration, même constat, de nombreux absents sont également à signaler, mais il y a tout de même déjà de quoi faire. Pour en avoir personnellement testé quelques offres, le résultat reste gustativement mitigé et très inégal d’un produit à l’autre. Ainsi le Menu 30 du restaurant Hypérion propose un burger aussi peu esthétique que goûtu tant il semble fade par rapport à celui de BB-8, par contre le gâteau en forme de tête de Mickey, à base de génoise et de mousse au chocolat, est un vrai petit plaisir culinaire ni trop sucré, ni trop sec qui m’a déjà inspiré de futures pauses goûter quand Victoria’s Home-Style Restaurant sera pris d’assaut.
Finalement, une fois encore, on se retrouve avec un résultat mitigé. Il y a du (très) Bon avec le nouveau Rêvons… et le monde s’illumine !, du Bête avec nombre d’offres Merch & Food qui ont loupé le coche du lancement et du Truand avec D-Light qui essaye de se faire bien voir alors que la star est clairement After Glow.
Mais tout de même un mérité 4,5/5 sur le spectacle diurne seul (des chars plus égaux dans leur ampleur et plus travaillés avec des effets spéciaux, ainsi que quelques danseurs supplémentaires pour mieux occuper la rue auraient permis d’atteindre la perfection).
Attendue comme le messie après des 25 ans particulièrement réussis et une triste et longue double période de fermeture ayant reporté aux calendes grecques le plan d’expansion des Walt Disney Studios et celui de refonte du Disney Village (sans compter celui de rénovation du Disneyland Hotel), ces 30 ans avaient la lourde tâche d’être un jour nouveau pour la destination, à l’image du levé de soleil au centre du visuel général.
Mais le contrat est-il rempli ?
Dans un souci d’objectivité, nombre de décisions récentes se doivent de servir de base de réflexion, à commencer par l’arrivée des calendriers de réservation qui ont alourdi à l’extrême l’accès aux Parcs pour nombre de Passionnés, puis la disparition des FastPass gratuits au profit des Disney Premier Access payants et enfin les augmentations tarifaires globales et massives dans tous les domaines.
Bref la Magie a un prix, et à Disneyland Paris, celui-ci a grimpé en flèche dernièrement quand on met tout bout à bout. Pourtant ce n’est pas pour autant que l’offre a retrouvé les niveaux du “monde d’avant”. Nombre d’expériences sont encore dégradées, inaccessibles, voir définitivement disparues. Ainsi la simple réouverture d’un restaurant, le Walt’s, ne devrait pas avoir à se retrouver célébrée comme un des événements de l’année alors que ceux ouverts débordent déjà quotidiennement quand sonne midi depuis bien trop longtemps.
C’est pourtant indéniable, d’un côté le nouveau spectacle diurne est un véritable succès créatif, dont vous pourrez profiter jusqu’à la fin du mois de septembre (puis à nouveau à partir de janvier 2023, une fois Halloween et Noël passés) et les bonus autour du spectacle nocturne sont des suppléments appréciables.
Mais de l’autre, le Merch & Food n’est pas encore pleinement arrivé et toute une zone Marvel s’apprête à arriver dans les prochains mois pour braquer quelques projecteurs ailleurs que sur le Château de la Belle au Bois Dormant.
Évidemment chacun verra midi à sa porte selon ses propres priorités et ses propres moyens. Mais dans un souci de répondre aux besoins du plus grand nombre j’en arrive à l’inéluctable conclusion suivante : Ne vous pressez pas.
Si vous êtes en mesure de vous rendre très régulièrement sur les Parcs, allez-y, vous profiterez des quelques nouveautés avec plaisir pour varier un peu vos habitudes.
Si vous êtes plutôt du genre à faire quelques visites dans l’année, attendez encore un peu et privilégiez une visite à partir du 12 Avril, jour du véritable anniversaire de la destination. Déjà parce que les Jardins auront obtenus leurs décorations florales printanières, mais aussi parce qu’assister à Illuminations sera moins glaçant et enfin surtout parce que l’ensemble des offres prévues pour cette célébration seront normalement disponibles. Donc vous n’aurez pas à risquer de regretter louper une expérience qui vous tient à cœur de quelques jours et vous devriez même peut-être pouvoir obtenir un des nombreux objets collector prévu spécifiquement sur cette journée.
Si enfin, vous êtes plutôt du genre à faire une grande visite annuelle, là le constat est clair. Attendez qu’une date d’ouverture ferme soit communiquée pour Avengers Campus, ajoutez environ 2 semaines pour que le gros de la folie liée à cette arrivée soit passée et là vous pourrez véritablement profiter de chaque Euro investi dans votre séjour. D’autant plus si à ce moment là, les Parcs sont encore en horaires estivaux, donc avec un Parc Disneyland fermant à 23h00.
Points positifs | Points négatifs |
Rêvons… et le monde s’illumine ! est une franche réussite | Trop d’offres ayant raté le top départ |
L’introduction de drones en spectacle nocturne ouvre de belles futures possibilités | Des décorations finalement trop légères et limitées |
Une offre Food qui essaye enfin d’être originale et l’arrivée de basiques qui manquaient | L’absence de Points Photos spécifiques |
Les distributeurs de savon Mickey sont enfin aussi disponibles à Disneyland Paris | Avoir créé une attente sur D-Light quand la vraie animation est After Glow |
Les danseurs et personnages de Rêvons… et le monde s’illumine ! qui se donnent à fond | Limiter les produits dérivés de la célébration à la trop petite boutique Flora’s |
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