Elles étaient trois sorcières,
Emprisonnées dans leur chaumière,
Attendant désespérément,
L’arrivée de cet adolescent,
Qui allumera la bougie à flamme noire,
Les libérant en un instant.
Elles étaient mortes 300 ans plus tôt,
Pendues comme l’étaient les sorcières sur un échafaud,
Pour avoir fait du mal aux petits du hameaux.
Ainsi revenues plus méchantes que jamais,
N’ayant plus qu’un souhait,
Aspirer la vies des enfants,
Afin de garder leurs jeunesse éternellement,
Armées de leurs balais,
Elles peuvent s’envoler,
Et le village visiter,
Afin d’essayer de trouver,
Des gamins à envoûter.
À aucun moment elles n’ont pensé,
Que les temps ont changé,
Que les adolescents sont habitués à affronter,
Mille et un dangers sans se démonter,
Qu’ils en faut plus pour les décourager,
Qu’ils ont la force et la ténacité,
Pour survivre à notre société,
Et que ce ne sont pas des sœurs enchantées,
Qui vont les décontenancer.
Elles seront bien vite renvoyées,
De l’endroit où jamais elles n’auraient dû s’échapper,
Le monde de la méchanceté et de la cupidité.
Car on a beau avoir la beauté,
Si votre âme est noire,
Vous partirez dans le désespoir,
De n’avoir jamais été aimé!
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