Avertissement: ce poème dédié à Cruella dévoile une partie de l’intrigue du film des Studios Disney
Très chère Cruella,
Je t’écris cette lettre,
Que certainement tu ne liras pas.
Je dois bien admettre que pour toi,
Je ne t’intéresse pas.
Mais au fond de moi,
Je souhaite qu’un jour,
Quelqu’un le fasse pour toi.
Toi qui petite t’appelais Estella,
Prénom qui signifie étoile,
Tu aurais personnalité solaire.
Mais voilà, la vie a tranché pour toi.
Prise entre deux personnalités,
La plus méchante a gagné,
Même si parfois , tu te sens partagée.
Quand au domicile de la Baronne Von Hellman,
Femme aussi hautaine que méprisante,
Le médaillon de ta mère tu as trouvé,
Tout s’est déclenché.
C’est ce jour là que Cruella est née.
Pourtant, à ses côtés,
Tu fais office d’enfant de chœur.
Estella la fragile l’innocente, la touchante.
Et Cruella la folle l’implacable la méchante,
Icône de la mode, créatrice inventive,
Aux idées de génie,
Tu vas trouver ta vengeance,
En faisant payer la Baronne,
Pour la perte de ta maman.
C’est à ce moment-là,
Que je vois en toi,
Le petit bout de l’enfant,
Qui aurait pu être un ange,
Si la vie ne l’avait pas décidé autrement.
Alors petite Cruella,
Je souhaite qu’un jour,
L’on retrouve en toi,
Celle que tu aurais pu être,
Et que tu deviendras peut-être.
Car la méchanceté ne paie pas.
La jalousie et l’envie n’apporte rien.
La mesquinerie et le mépris,
Ne te donne pas d’amis.
Et n’oublie pas l’enfer,
N’est que le paradis à l’envers.
Rien n’est jamais acquis.
Tout n’est pas écrit.