Je ne connais rien au monde,
Que ce que ma mère me raconte.
Je ne suis jamais sortie de ma tour,
Mais que ce passe t-il alentours ?
Pourquoi ces lanternes dans le ciel ?
Pour qui toutes ces lumières qui étincellent ?
Dis le moi, je t’en supplie mère Gothel.
Je passe mon temps à me brosser les cheveux,
Long de 20 mètres, ils sont tellement soyeux.
Ma mère me dit qu’ils sont très précieux,
Que je dois chanter pour qu’ils soient encore plus merveilleux,
Moi je m’ennuie ce n’est pas ce que je veux.
Alors je chante, pour mon ami Pascal.
C’est un caméléon ; je sais, cela ne parait pas normal.
Mais je n’ai que lui, chutt j’entends un bruit !
Quelqu’un a réussi à entrer ici.
Que me veut-il? Ma mère a donc raison.
C’est vrai qu’il est plutôt beau à sa façon.
On dirait qu’il est un peu fou.
En même temps ce n’est qu’un voyou.
Je vais enfin découvrir d’autres horizons,
Il va m’aider à me sortir de cette prison.
Ensemble nous seront plus fort.
Je peux enfin m’évader .
Mais d’autres combats, j’aurais à livrer.
C’est aussi ça le prix de la liberté.
La suite sûrement, vous la connaissez.
J’ai fais des rencontres qui m’ont embarrassées.
Et d’autres qui m’ont bien fait rigoler.
Je sais maintenant que la mère Gothel,
N’était pas ma maman mais une vilaine sorcière.
Qui ne voyait en moi que mes cheveux,
Qui portaient en eux la jeunesse éternelle.
Alors ce brigand de Flynn Rider,
Les a coupé afin de me sauver.
Depuis je me sens vraiment soulagée.
Je peux être moi et enfin être aimée.
Mes vrais parents règnent sur le pays.
Tout le monde les aiment tellement, ils sont gentils.
Demain je vais me marier,
Avec cet homme qui n’est même pas chevalier.
Mais qu’importe ce qui peut arriver,
C’est avec lui que je vieillirai.
Car le bonheur dans la vie,
Ne se limite pas aux rides,
Mais aux battements de notre cœur.
C’est cela le vrai bonheur.